Et quand il ne restera rien à exploiter ?
J’ai été coopérante au moment où l’aide internationale canadienne priorisait l’amélioration du sort des femmes et l’accès des populations à l’eau potable. Deux volets liés, puisque les femmes africaines ou latino-américaines marchaient des kilomètres chaque matin pour apporter l’eau nécessaire à leur foyer.